CitationEn analysant en détail les industries manufacturières, en tenant compte de la volatilité (après correction des effets saisonniers et calendaires), qui peut être provoquée par les caractéristiques du secteur, les gros ordres ponctuels, le carnet de commandes ou les stocks, on peut identifier les industries qui se démarquent le plus. Tel est le cas des branches intensives en énergie, comme le raffinage (en hausse de +8,2% depuis janvier), les produits chimiques (+13,3%), et les produits non-ferreux (+7,9%). Par ailleurs, les produits pharmaceutiques et les plastiques se démarquent également, respectivement en hausse de +7,8% et de +6,5% depuis janvier.
La production industrielle (hors construction) a baissé de -0,7% en mars (après +1,2% en février), selon les données publiées par l'l'institut de statistiques allemand. La production dans les branches intensives en énergie s'est stabilisée (après avoir crû de +4,6% en février), et dans l'industrie manufacturière a baissé de -0,4% (après +1,9% en février). Malgré la légère contraction du mois de mars, les données du premier trimestre suggèrent que l'activité pourrait être proche d'un point de retournement. Ainsi, la production industrielle (hors construction) a augmenté de +1,4% depuis janvier, la production dans les branches intensives en énergie de +9%, et dans l'industrie manufacturière de +2,9%.
La production industrielle (hors construction) a baissé de -0,7% en mars (après +1,2% en février), selon les données publiées par l'institut de statistiques allemand. La production dans les branches intensives en énergie s'est stabilisée (après avoir crû de +4,6% en février), et dans l'industrie manufacturière a baissé de -0,4% (après +1,9% en février). Malgré la légère contraction du mois de mars, les données du premier trimestre suggèrent que l'activité pourrait être proche d'un point de retournement. Ainsi, la production industrielle (hors construction) a augmenté de +1,4% depuis janvier, la production dans les branches intensives en énergie de +9%, et dans l'industrie manufacturière de +2,9%.
En analysant en détail les industries manufacturières, en tenant compte de la volatilité (après correction des effets saisonniers et calendaires), qui peut être provoquée par les caractéristiques du secteur, les gros ordres ponctuels, le carnet de commandes ou les stocks, on peut identifier les industries qui se démarquent le plus. Tel est le cas des branches intensives en énergie, comme le raffinage (en hausse de +8,2% depuis janvier), les produits chimiques (+13,3%), et les produits non-ferreux (+7,9%). Par ailleurs, les produits pharmaceutiques et les plastiques se démarquent également, respectivement en hausse de +7,8% et de +6,5% depuis janvier.
Concernant les nouvelles commandes dans l'industrie manufacturière, la plus forte demande est adressée à la production de machines et équipements (en hausse de +7,1% depuis janvier), particulièrement en provenance de l'extérieur de la zone euro (+13,8%), ainsi qu'aux produits électriques par les pays membres de la zone euro (+18,4%).
La production industrielle (hors construction) a baissé de -4,3% en 2023 (après -3,1% en 2022), marquant la sixième année consécutive en territoire négatif. Cependant, les données du premier trimestre suggèrent que l'activité pourrait être proche d'un point de retournement. Les secteurs de l'industrie manufacturière en hausse depuis janvier représentent 10,3% de la valeur ajoutée brute allemande, tandis que ceux en territoire négatif représentent 7,6%.
Les indicateurs avancés de l'activité économique gagnent du terrain. Par exemple, l'indicateur de demande adressée au secteur manufacturier produit par l'institut Ifo, qui enquête sur les entreprises de l'industrie, montre une tendance à la hausse depuis la dernière baisse d'août. Le kilométrage des poids lourds, calculé par l'institut de statistiques allemand, montre également une tendance à la hausse depuis décembre.